Formation d'une dominatrice

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il y a 6 ans

Cette fois-ci, j'ai opté pour une jupe en cuir courte et étroite. De couleur bleu foncé, elle est très moulante et me donne une allure plutôt stricte. Je porte un chemisier blanc sobre et serrant dont tous les boutons sont soigneusement fermés harmonieusement agrémenté d'un joli foulard noué avec précision qui vient joliment compléter ma tenue. Je chausse des escarpins noirs à talons de douze centimètres et j'ai ramené mes longs cheveux blonds sous une perruque foncée dont la chevelure couvre mes épaules, ce qui renf o r c e mon allure sévère. Pour compléter ma tenue et pour donner une touche de bondage, je porte une ceinture large de cuir faire de plusieurs ceintures dont toutes les boucles se trouvent sur l'avant. Tout cela est étudié car la situation est particulière. Cet après midi je vais donner un cours à un garçon rencontré sur Internet sur ce qui a trait aux cordes, la manière de les serrer, de faire les nœuds et d'immobiliser une personne.

Allant et venant dans la pièce, mon pas rythmé par le cliquetis de mes talons sur le parquet, j'ai préparé des cordes de diverses longueurs ainsi que des bâillons que j'ai disposés sur la table.

Me voyant dans le miroir, je souris en pensant que j'ai bien plus que d'ordinaire une allure de dominatrice.

Il me reste du temps, mon élève doit arriver à quinze heures.

Tiens on frappe à la porte ! Je vais ouvrir et Christelle entre accompagnée de son amie Marie. Les deux jolies blacks passaient dans le quartier et sont venues dire un petit bonjour. Christelle est vêtue d'un catsuit de latex gris foncé et chausse une paire de bottes de cuir serrantes lui arrivant sous le genou et munies de magnifiques talons aiguilles, et Marie porte une ravissante minijupe de cuir noir moulante à souhait avec un tee shirt blanc largement décolleté et sans manches. Le catsuit de Christelle étant vraiment moulant comme une seconde peau, les formes de la jolie black sont mises en évidence de manière aussi sexy que provocante. Il faut dire qu'elle arbore un magnifique 90D dont elle se sert comme d'une arme et elle a des fesses splendides comme seules les noires en affichent. Elle a laissé le zipper ouvert jusqu'au niveau de ses seins, mettant remarquablement l'accent sur sa généreuse poitrine. Ses jambes sont longues et elle est manifestement sportive.

-Bonjour ma jolie, on ne te dérange pas ?

-Euh, et bien j'attends quelqu'un mais il me reste une demi-heure. Entrez un moment.

-C'est vrai que tu es habillée pour attendre quelqu'un. Vous allez sortir ? Mais dis donc, pour qui t'es-tu faite si belle ? Et puis... tu as tout de la dominatrice en exercice ! Et avec ces cheveux noirs, j'aurais pu ne pas te reconnaître.

Elles entrent mais Marie est déjà passée à côté de moi et nous a précédées dans le salon. Les cheveux libres de la jeune femme lui tombent sur les épaules. Je note qu'elle chausse de jolis souliers vernis aux talons aiguilles particulièrement hauts. Sa minijupe couvre la mi-cuisse et a des reflets vaguement métallisés. Sa jolie poitrine est fort bien mise en évidence par le large décolleté de son tee shirt. Cela doit être du 90C mais porté avec un soutien gorge « push up », c'est de la triche !

Christelle avance avec un sourire étrange, tend la main et touche mon foulard.

Je fais un pas en arrière en repoussant sa main.

-C'est pour un ami...

-Oh, oh ! Il en a de la chance... et vous comptez sortir ?

-Je crois qu'elle prépare autre chose, la vilaine fille. Tu as vu ce qu'il y a sur la table ? Elle prévoit de s'amuser dirait-on, fit Marie qui s'était avancée dans la pièce. Et nous somme de trop...

Christelle me pousse dans la pièce en souriant largement et aperçoit également le tas de cordes soigneusement organisé à côté des bâillons.

-Je vois... Et tu vas lui donner un gentil petit cours de ligotage, à ce brave garçon, pas vrai ? Rit-elle.

-Euh, oui... bien partez maintenant...

Mais Christelle avait saisi mes poignets et se pressait contre moi. Elle lança un regard à Marie avec un petit hochement de tête.

Ses seins pressés contre les miens, elle avait amené avec douceur mais irrésistiblement mes poignets derrière mon dos et les maintenait solidement. Christelle est une jeune femme aux formes très féminines mais il ne faut pas s'y tromper car elle est aussi très sportive et douée d'une f o r c e physique incroyable. La jolie black me maintenait aussi solidement qu'un garçon l'aurait fait. J'ai ouvert la bouche pour lui dire de me lâcher mais j'ai été surprise par Marie qui était revenue derrière moi avec un gros bâillon pris sur la table. La jeune femme a profité de cette occasion pour m'enfoncer vigoureusement la grosse balle dans la bouche. Stupéfaite, je n'avais rien vu venir et ai été réduite au silence sans avoir pu émettre le moindre cri. Ma bouche était largement ouverte par le bâillon était complètement obstruée par l'énorme balle de latex. Et la douce Marie, hilare, était déjà occupée à en boucler étroitement la s a n g le sans se soucier de mes grognements indistincts.

-Humgnhhh... ... mphh !!!

-Et hop ! Fit la jolie black en manipulant la s a n g le. Voilà notre belle blanche magnifiquement muselée...

Les multiples bracelets qu'elle portait aux poignets s'entrechoquaient dans de petits tintement cristallins pendant qu'elle terminait de manipuler la s a n g le.

Elle avait choisi le plug-gag muni de la plus énorme balle de latex, dont le panneau était d'un cuir fin et très souple qui épousait parfaitement la bouche. Il se prolongeait pour former la solide s a n g le que Marie avait serrée si énergiquement et qu'elle achevait de boucler sévèrement derrière ma nuque.

-Mhghh !

-Trop tard ma jolie ! Ironisa Christelle.

Furieuse d'avoir été surprise et humiliée de la sorte, je me tortillais en grognant de plus belle dans les bras de Christelle.

-Prends ses poignets... et tiens-la bien, c'est une furie.

J'ai senti la poigne de Marie se fermer sur mes bras et me maintenir solidement pendant que Christelle relevait ma jupe d'un geste quasi masculin.

-Voyons ce qu'elle porte là dessous... Oooh, du latex ! La coquine... tu veux faire une surprise à ce garçon dirait-on ?

-Muh !... muhh... mmuh !!!

-Si c'est pour exciter un mâle, on sait ce qu'il faut faire.

-Oh oui ! fit Marie. On va l'aider... elle a de la chance qu'on soit passées.

-ghmghh !... muhhh...

Christelle a dénoué mon foulard en riant.

-Et maintenant, Blanchette va nous faire un joli strip tease.

-Muhh !!!... ...

-Mais si, je suis sûre que cela en vaut la peine.

Je me suis mise à me tortiller vigoureusement mais Marie me tenait très fermement et Christelle implacable a commencé mon déshabillage. Elle m'a d'abord ôté mon chemisier, puis elle a ouvert les boucles de ma ceinture et fait descendre ma jupe. Malgré ma lutte farouche, elles m'ont rapidement dépouillée de mes vêtements, me laissant uniquement en string de latex avec un mini soutien gorge du même matériau et mes escarpins.

-Je l'aurait parié. Elle a le petit soutien assorti aussi ! C'est un vrai présentoir qu'elle a !

-Elle devient v i o l ente et elle rue. Apporte vite des cordes. Nous allons calmer cette furie, c'est pour son bien.

De sa démarche fauve, la belle Christelle a emporté vivement mes vêtements pour les déposer sur mon lit. Elle revint rapidement en prenant au passage quelques cordes sur la table et entreprit de m'attacher solidement les poignets derrière le dos. Marie me tenait fermement tout en lui présentant obligeamment mes bras tandis que je sentais Christelle serrer sèchement le lien avant de passer au ligotage de mes coudes. Je me tortillais de mon mieux en ruant et secouant la tête mais Marie tenait bon. J'ai écarquillé les yeux en sentant la traction exercée sur mes bras ! Christelle faisait réellement un ligotage ultra strict !

-Mumhhh !!! ...

Très appliquée, Christelle tendait graduellement la corde si bien que mes coudes ont fini par se trouver jointifs, résolument pressés l'un contre l'autre. Elle plaçait chaque lien avec une stricte minutie. Elle a alors serré la corde au-dessus de mes coudes, sécurisant encore davantage mon ligotage, puis elle a tourné le lien autour de ma poitrine, juste au-dessus de mes seins.

Une fois mes bras complètement attachés, Marie m'a lâchée et est allée prendre quelques cordes pendant que Christelle m'assénait de petites claques sur les fesses pour me diriger vers la table. Je gloussais en sautillant sur mes talons aiguilles.

-Allons, c'est par là ma belle... Clac ! C'est comme cela que l'on conduit le bétail tu sais ?

-Mphh... mhuhmm...

-Mais oui, tu es une bonne « meuh meuh »... avance... Clac !

Juchée sur ses vertigineux talons aiguilles, Marie me regardait approcher, des cordes déjà toutes prêtes à la main.

-Ah oui, « muf... muf... muf... ». Allons, viens là blanchette... La gentille Marie va s'occuper de toi.

Elle m'attendait calmement près de la table. Le sursautais en gloussant à chaque claque mais la belle amazone qui me suivait me f o r ç a i t irrésistiblement à avancer vers Marie, m'interdisant toute autre direction. Une fois que Christelle m'eut appuyée en position semi assise sur le meuble, la jeune femme s'est immédiatement accroupie et m'a solidement attaché les chevilles en serrant soigneusement le lien.

-C'est que nous autres, on a appris comment garder le bétail. On les empêche de meugler d'abord... on le entrave ensuite comme ceci, et puis on les attache soigneusement pour éviter qu'ils ne s'échappent.

-mpf... ... muf... mpfh !!!

Elle repoussait régulièrement sa chevelure en arrière. Christelle s'était assise sur la table le bras passé autour de mes épaules pour la regarder faire.

-Tu as de la chance qu'on soit passées, Miss. Entre filles il faut s'entraider. On va t'aider à le lui donner, ce cours, me susurra-t-elle à l'oreille. Et vu ta tenue, il sera tout excité ce garçon... c'est sûr.

-Ghmhh... gnhh !

Je secouais la tête en grognant, mais Marie avait choisi le plus efficace de tous mes bâillons. De plus j'ai été f o r c é e de constater que non seulement la jeune femme avait embelli depuis la dernière fois que je l'avais rencontrée, mais qu'en outre elle avait incontestablement amélioré ses techniques de ligotage.

Je voyais Marie agenouillée devant moi, appliquée à m'attacher méthodiquement les jambes d'abord sous les genoux, puis au-dessus. Elle serrait étroitement puis sécurisait systématiquement chaque nouveau lien et terminait chaque fois par un nœud complexe qu'elle serrait rigoureusement d'une traction énergique. Les cordes étaient très tendues et elle était occupée à serrer solidement un nouveau lien au sommet de mes cuisses.

Comme si elle avait lu mes pensées, Christelle fit :

-Marie s'est prise d'intérêt pour les jeux de cordes. Je lui ai donné des petits cours de perfectionnement... et je dois dire qu'elle se défend fort bien...

-mhmmgh... hummphh...

-Je suis toute douce... mais mes cordes tiennent bon même sur des mecs costauds.

Marie s'arrêta un instant pour m'adresser un sourire ingénu, puis elle fit passer la corde plusieurs fois entre mes cuisses et acheva de sécuriser très rigoureusement le lien. J'avais une vue plongeante sur son profond décolleté pendant qu'elle s'affairait accroupie à mes pieds. Sa jupe se retroussait au fil de ses mouvements et dévoilait ses magnifiques cuisses. Elle dispose d'arguments de valeur face aux garçons. Souriante, elle leva ses jolis yeux noisette vers moi tout en pratiquant avec le reste de corde un nœud extraordinairement serré entre mes cuisses.

-Et en plus c'est très joli. Regarde ce nœud. Il est très serré mais tellement mignon. Noué de cette manière, je te garantis qu'il ne risque pas de se défaire... c'est Christelle qui m'a donné le truc.

Bien qu'entravée par son étroite minijupe et ses vertigineux talons aiguilles ne facilitant rien elle se redressa avec grâce. Son regard se posa sur ma poitrine et mes seins tendus, poussés en avant par l'étroit ligotage de mes coudes. Le latex de mon petit soutien est très élastique et ne couvre les seins que jusqu'aux tétons. Il avait l'air prêt à exploser. Je foudroyai Marie du regard.

-Tu es un peu « provoc » tout de même, fit-elle... mais ton soutien a l'air tellement serré ! Cela ne doit pas être très confortable... Attends, je vais te soulager.

-Mmh !

Elle tendit les mains de part et d'autre de mes seins et glissa le doigt sous le latex tendu. Et mon petit soutien glissa subitement en se rétractant sous mes seins comme un élastique. Clac ! Elle prit un air surpris et navré en voyant mes seins nus soudainement exposés.

-Oooh ! Désolée...

-Mais non voyons, fit Christelle en me caressant un sein. C'est beaucoup mieux comme cela, regarde comme ils sont jolis ! Et puis je suis sûre qu'elle respire beaucoup mieux ainsi. Hi, hi, hi... pas vrai, Miss ?

Elle jeta un regard à l'horloge. Encore douze minutes...

Je suivais Marie du regard alors qu'elle prenait une nouvelle corde. La jeune femme en fit une double corde dans laquelle elle pratiqua un gros nœud en me regardant. Puis elle la serra autour de ma taille avant de la passer entre mes cuisses, le nœud pressant sur mon sexe. Elle serra ce lien et tira joyeusement dessus pour voir ma réaction.

Mgnhhh !!!

J'ai sursauté en roulant de grand yeux en poussant un gloussement étouffé.

Installe-la sur la table, fit Christelle en désignant le meuble du menton.

Elle se dirigea vers ma chambre où je l'entendis ouvrir les armoires. Marie me prit par les épaules, me fit pivoter et me f o r ç a à m'allonger face sur la table. Mes seins s'écrasèrent sur le bois froid du meuble alors que Marie achevait de me faire pivoter.

-Voilà... c'est très bien ma jolie... très décorative.

-Mhhh... mmh... ... ghumhh...

Le pas de Christelle se fit entendre et je sentis qu'elle m'écartait les bars du corps. Ma première pensée fut qu'elles allaient me mettre dans un hogtie ultra tendu dont cette amazone est spécialiste. Mais elle glissa un objet dur entre mon dos et mes bras et je compris qu'elle avait été chercher une des solides barres de bois cachées dans mon armoire.

Elles pressèrent la barre contre mon dos et m'y attachèrent solidement à la taille, sous les seins, au-dessus des seins, sous les genoux, au sommet des cuisses et aux chevilles. Ensuite ce fut le tour de mes bras d'être très rigoureusement attachés à la barre, d'abord par les coudes et ensuite les poignets.

Et enfin, Marie elle pris mon menton et tira ma tête vers l'arrière. La s a n g le du bâillon fut rigidement attachée au sommet de la barre grâce à une entaille et un trou pratiqués spécialement à cet effet.

-gh... mh... ... gh...

-Et bien voilà ! Comme cela on ne l'entendra plus et elle ne remuera pas.

-Oooh ma fille ! Tu es érotique à souhait, fit Christelle. Présentée comme cela et dans cette tenue, je suis sûre que ce garçon voudra tâter la marchandise. Prépare-toi à te faire peloter ma fille !

-Gmhhh... gnhh... ... gmmmh !!!

Les deux jeunes femme me regardèrent un moment en silence.

-Dis, je me demande... tu ne crois pas que c'est elle qui voulait l'attacher. Pour un cours, c'est souvent comme cela non ?

-Maintenant que tu le dis... tu as probablement raison. La dominatrice servie toute ligotée à son soumis. Ha, ha, ha !

-On la laisse comme cela ?

-Non... je vais prendre sa place. Histoire de lui rendre service. Avec ma tenue j'ai exactement l'allure qu'il faut. Anne, tu seras ma femelle de démonstration ! Un rôle taillé pour toi.

Je grognais en essayant de remuer mais j'étais aussi raide que la barre de bois. Les seins pressés contre le bois de la table et la tête relevée, j'étais incapable de remuer et je regardais bêtement devant moi en poussant de petits gloussements nerveux au gré de mes efforts.

-Bien, dit Marie, je vais vous laisser. Merci pour la démonstration, Anne ! C'était chouette.

-Mmmhh !

La jolie black fit un pas et prit mon menton. Elle se pencha et vint lentement déposer un baiser appuyé sur ma bouche bâillonnée sans que je puisse bouger d'un millimètre pour m'y soustraire.

Puis elle me glissa à l'oreille :

-Un de ces jours, j'aimerais que tu m'attaches solidement comme il paraît que tu sais si bien le faire. Tu vois... en minijupe, dans un hogtie rigoureux et solidement bâillonnée... et mon copain me trouverait comme cela. Je te recontacte.

-Mh ?...

Elle s'en alla pendant que Christelle rangeait les cordes restantes. La porte se referma derrière elle, nous laissant seules.

-Sois sage Anne, mon client ne devrait plus tarder à présent.

-hgnnh...

-Cela te va bien, le latex... évidemment c'est peu couvrant mais tu es un peu exhibitionniste.

Rageusement, je tente de remuer. La barre de bois est très solide et m'interdit réellement tout mouvement. Et dire que c'est moi qui l'ai choisie spécialement pour les jeux de cordes. Dire aussi que je me trouve ligotée avec mes propres cordes !

La sonnette se fait entendre. Christelle descend le zipper de son catsuit de quelques centimètres et passe la main dans ses cheveux avant d'aller ouvrir. J'entends quelques phrases.

-Maîtresse Anne ?

-Oui, répondit Christelle. Je t'attendais. Entre.

-Vous êtes très belle Maîtresse, mais je suis surpris, car sur Internet on vous décrit comme blonde et blanche de peau.

-Merci du compliment. Mais comme tu vois, j'aime la discrétion. Ceux qui attendent une blonde ne risquent pas de me reconnaître dans la rue.

-Encore mille mercis, Maîtresse, d'avoir accepté de me faire une démonstration de vos talents.

Elle revient quelques instants plus tard, un garçon à sa suite. Évidemment, comme nous ne nous sommes jamais rencontrés, il ne risque pas de me reconnaître...

Il entre dans la pièce et me regarde intensément, quasi nue et allongée sur la table juste devant lui, bâillonnée et ligotée comme saucisson. Je glousse en le regardant mais mes efforts sont dérisoires.

-muhh ! ... ... mpfh... ... mmh !!!

Sans le laisser revenir de sa surprise, Christelle enchaîne et lui désigne le salon.

-Installe-toi. Tu vas me raconter ton expérience actuelle afin que je juge de la manière de t'instruire.

-Euh... C'est très joli ici, fait le garçon en s'asseyant sur le canapé pendant que Christelle prend place dans le fauteuil lui faisant face.

Je m'agite de plus belle pendant qu'il entament la conversation et que le garçon raconte ses expériences. La pièce est séparée en deux par une arcade centrale et je me trouve exposée en arrière plan à la vue du garçon. Je suis sûre que Christelle a choisi expressément d'aller s'asseoir à cet endroit juste pour m'exposer comme un objet. Et cette garce de Marie a tellement serré ce bâillon que je ne peux vraiment rien articuler. Il est hermétique et m'entre dans les joues. De plus, avec la tête tirée vers l'arrière aussi strictement, il est très profondément enfoncé dans ma bouche et m'étouffe à moitié.

-muh... mhh... h !!!

Il m'est impossible de plier les jambes tant elles sont rigidement fixées à la barre de bois. Je ne parviens par non plus prendre un quelconque élan pour rouler sur moi-même. Et enfin, mes bras sont solidement fixés en plusieurs points à la barre ce qui m'interdit toute tentative de mouvement aussi.

J'écarte les doigts et les plie alternativement. Je tends les orteils. Mais c'est bien là tout ce que je parviens à faire. Même tourner la tête vers eux est impossible.

-muh... ... mpf... ... ... ...mhu... ... gh...

Soit ils ne m'entendent même pas, soit ils ne prêtent aucune attention à mes gémissements. Une dizaine de minutes plus tard, Christelle s'est levée et ils se sont approchés. Elle avance comme une vraie panthère et me regarde un moment.

Pour une première leçon je commence toujours par montrer des exemples. C'est ce qu'il y a de mieux pour apprendre. Cette femelle a osé défier ma beauté. Elle est très énergique en plus d'être turbulente et bruyante. Pour lui donner un peu d'exercice et lui permettre de perdre ses quelques kilos de trop, je l'ai donc ligotée sur cette table. Je l'ai rigoureusement bâillonnée aussi parce qu'elle a stupidement essayé de brailler et cela ne m'a pas plu. Un bâillon aussi rigoureux que possible est indispensable si la femelle n'est pas parfaitement dressée. D'une part cela lui impose le silence mais cela lui rappelle également sa condition et sa vraie place à mes pieds. Une femelle peut tenter d'émettre des sons mais elle n'est de toute manière pas capable de parler ou de dire des choses intéressantes. Elle parvient parfois à imiter des sons qu'elle a entendus à la manière d'un perroquet.

-mh... ... ... mh... ... ... Folle de rage, je m'agite vainement.

-C'est le cas de celle-ci. Tu peux entendre légèrement les couinements de la femelle qui essaie de grogner. Mais son bâillon est heureusement très efficace et ses liens sont très solides et très serrés. Regarde.

Sans prévenir, elle me donne une solide claque sur la fesse. Je glousse sans parvenir à remuer.

-Tu as vu ? Juste un léger sursaut et pas de cri. Pas de mouvement.

Le garçon regardait Christelle se mouvoir en détaillait ses formes mises en valeur par son catsuit serrant.

Tu peux tâter les seins de cette dinde ou l'embrasser ou ce que tu veux, elle restera parfaitement tranquille et silencieuse.

-C'est une belle femelle. Vous l'avez choisie plutôt sexy. Est-ce que je peux prendre des photos ?

-Si cela t'amuse, je t'en prie. Répondit Christelle en souriant. Mais ce n'est qu'un gibier sur son présentoir. Juste une dinde joliment ficelée et agréable à regarder.

Horrifiée, j'ai vu le garçon sortir un smartphone de sa poche et tourner autour de moi pour me photographier sous différents angles. Puis il a posé la main sur ma cuisse puis m'a palpé les seins sans que je parvienne à remuer. Je ne parvenais même pas à pencher la tête où à regarder de côté tant ma tête était solidement fixée à la barre. Il a alors glissé la main sous mon bassin et a découvert le crotchrope qui me pressait sur le sexe.

-C'est vraiment d'une efficacité impressionnante. Commenta-t-il en observant mes réactions tandis qu'il promenait les doigts le long du crotchrope. J'étais véritablement au bord de l'explosion.

Il regarda Christelle.

-Y a-t-il un inconvénient à ce que je publie des photos de la femelle sur mon blog ? Elles intéresseraient du monde.

-Bien entendu, tu peux publier toutes les photos que tu désires répondit Christelle. Elle ne s'opposera pas mais en revanche je ne veux voir aucune photo de moi sur Internet.

-Oui, je comprends.

Patiemment, Christelle attendit que le garçon prenne quelques photos de moi toute ficelée sur la table. Il les a postées sur son forum en précisant dans la légende « J'ai été reçu par Maîtresse Anne en son salon. Pour illustrer sa maîtrise des cordes, cette turbulente femelle aux formes généreuses et à la tenue osée s'est vue très rigoureusement bâillonnée et strictement ligotée par les soins de la Maîtresse. »

-Voyons le détail à présent.

Christelle m'empoigna et me fit rouler sur le flanc jusqu'à ce que je retombe autant sur le dos que le permettait la rigueur de mon ligotage. Exhibée de la sorte, avec le crotchrope en évidence, le garçon ne résista pas et prit encore quelques photos qu'il publia aussitôt. « La dextérité de Maîtresse Anne apparaît clairement sur ces images. La tension de chaque lien est apparente et on devine le bonheur de la belle impudique qu'elle a ligotée aussi parfaitement. »

Et Christelle de continuer.

-Tu peux constater à quel point elle est rigoureusement ligotée. Fais-la jouir..

-Vraiment ?

-J'en t'en prie. Un seul doigt devrait suffire...

Après une hésitation, le garçon s'est approché et a avancé la main. Ma tête maintenue en arrière m'interdisait de le voir faire, mais j'ai tressailli au contact soudain de son doigt sur le latex de mon string.

-mh !... ... ... gh !!!

Son doigt s'est mis à aller et venir le long de la corde du crotchrope. A chaque passage il pressait légèrement sur le nœud et recommençait inlassablement. Le mouvement s'accélérait avec ma respiration. Je sursautais de manière de plus en plus incontrôlable à chaque passage sur le nœud. Un gloussement étouffé venait ponctuer mes sursauts.

J'ai soudain été prise d'une vague de soubresauts incontrôlables qui auraient normalement été accompagnés d'un véritable hennissement dont toute la rue aurait bénéficié sans cet impitoyable bâillon. Il y a simplement eu un petit gloussement plus aigu et quelques légers tremblements spasmodiques.

-En effet, elle est restée parfaitement immobile et silencieuse. Et pourtant elle a joui intensément !

-Et ce n'est pas fini. Regarde les pointes de ses seins. Tâte-les. Elle en redemande.

-Effectivement, ils pointent et sont d'une dureté indécente. Fit le garçon après m'avoir palpé les tétons.

Il a commencé à les flatter délicatement et à jouer avec les pointes en les faisant rouler entre ses pouces et index.

Christelle l'a laissé jouer des doigts tantôt sur mes tétons et tantôt sur mon sexe, l'incitant à me faire jouir à plusieurs reprises.

Finalement, elle est revenue avec mon vibromasseur qu'elle a soigneusement attaché entre mes cuisses de manière qu'il presse résolument sur le nœud appliqué contre mon sexe et le fasse vibrer puissamment. Puis elle m'a remise sur le ventre et a mis l'appareil en marche.

Sans se soucier de mes gloussements indistinct et de mes sursauts, elle s'est mise à décrire méthodiquement au garçon chaque lien et chaque détail de chaque nœud de mon ligotage, invitant le garçon à passer les doigts sur les cordes pour sentir la tension. Elle a montré mon bâillon et illustré son fonctionnement grâce à mon second plug-gag.

Pendant qu'il me tournaient autour l'appareil me conduisait inexorablement d'orgasme en orgasme.

Bien plus tard, le garçon est parti et Christelle a été à la fenêtre, me laissant sur la table.

-On dirait que ton copain arrive. Il descend de voiture.

-mh... mh...

-Oui, je vais te laisser. Tu préfères probablement rester seule pour l'accueillir.

-Muhhum... ... ... muhuhh !!!

-A bientôt ma jolie.

Elle vint gentiment m'embrasser. Elle remit le vibromasseur en marche avec un grand sourire, me flatta les tétons un moment, puis elle quitta l'appartement. Quelques instants plus tard mon copain rentrait et me trouvait sur la table.

-Je suis de retour ! J'ai croisé Christelle à l'instant.

Bouya2

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